Alessandro La Monica
- Jeune commercial passionné par les challenges
- Être social et positif dans l’âme
- Un œil neuf sur le métier
Fraîchement sorti du Global Graduate Program d’AXA qui lui fait visiter 5 fonctions en 3,5 ans dont une qu’il exerce dans la finance en Italie. En 2021, Alessandro devient Account Manager pour le secteur public. Pourtant fils d’un courtier, jamais il ne pensait un jour commencer sa carrière dans les assurances. Aujourd’hui, il le concède : il y a bien moyen de s’épanouir dans ce secteur.
“J’ai besoin de contact sociaux là où la plupart ont besoin de temps pour soi.”
7 questions à Alessandro
Comment te définis-tu ?
"Par mon envie d’avoir des contacts sociaux, peut-être : ne pas en avoir tout au long d’une journée me déprime. Ces contacts, notamment avec les clients, me donnent énormément d’énergie. J’ai donc des difficultés à bien vivre un confinement. Néanmoins, cet isolement a renforcé mon souhait de devenir commercial.
Une seconde chose : j’ai tendance à ne voir que le bon côté des autres, il est rare que je me rende compte qu’une personne est négative."
Quels sont tes domaines d’intérêt ?
"Le sport, les sorties sociales, les voyages. Je suis à moitié Italien et je vais en Italie chaque année. Au hasard d’une musique particulière ou d’un film de là-bas, j’observe que cette culture, cette cuisine, cette façon de vivre font partie de moi."
Qu’es-tu venu faire chez AXA ?
"A la sortie de mes études, je n’ai aucune idée du métier que je désire exercer. Le jour où je postule chez AXA, la possibilité de changer de métier tous les ans me séduit. Aujourd’hui, je connais plein de fonctions et de départements. Le monde de l’assurance s’étend bien au-delà du remboursement d’un sinistre. Plus qu’un métier, c’est une multitude de personnes et 3.000 fonctions différentes que j’ai été amené à découvrir."
Raconte-nous les côtés les plus attachants de ta fonction au service du secteur public ?
"Certainement les rapports privilégiés que nous entretenons : nos clients ont confiance en nous et dans la manière de gérer le risque que nous assurons. Ils savent que nous les accompagnerons. Lors d’un sinistre, nous avons en face de nous une personne qui attend que nous la rassurions, l’aidions, comprenions ses difficultés. Ces contacts au jour le jour créent un lien."
Pour toi, réussir, c’est... ?
"Un équilibre entre vie privée, professionnelle et amoureuse. J’entends dire que, dans ce triangle, il y en a souvent un qui est délaissé. Une vraie success story est de pouvoir se dire que les 3 sont comblés. Et en cas de disfonctionnement quelque part, de s’arrêter pour trouver une solution. "
Comment envisages-tu le service à la clientèle ?
"Dans toutes nos réflexions, le client est mis en avant. Il y a un souci, un processus n’est pas assez rapide, l’account manager va tout faire pour le résoudre, quitte à chercher très loin comment protéger son client."
Si tu pouvais imposer une nouvelle mesure dans la collaboration, de quoi s’agirait-il ?
"La transparence : dans la vie, cacher les choses ne sert à rien. A partir du moment où nous disons ce qui se passe, la solution apparait plus vite."
Terminons par ce que tu aimerais changer sur le plan personnel ?
"Mon côté impatient je dirais : dès que j’envoie un mail par exemple, je suis en attente de la réponse. J’aime que les choses avancent rapidement. Je vis avec mais au fond de moi, je sais que parfois je dois être plus patient. "